Mise en page
Marges
Haut 5 cm
Bas 5 cm
Gauche 4,5 cm
Droite 4,5 cm
Reliure 0 cm
En-tête 0 cm
Pied de page 4 cm
Pas de feuille de style, éviter les sauts de sections (pour éviter les problèmes de pagination ou de formatage des actes).
Le décalage en début de paragraphe doit être de 0 cm.
Taille des communications
35.000 caractères1 (espaces compris) maximum, en incluant dans le calcul les notes et les références (simple interlignage ; graphiques et références bibliographiques comprises).
Interlignage : simple (corps du texte, encadrés, annexes).
Police de caractères : Times
Titre de la communication: en taille 12, texte centré, caractères gras (pas de capitales).
Mention du (des) prénom(s) et du (des) nom(s) de(s) l’auteur(s) : taille 12, texte centré, caractères gras et en italique (pas de capitales).
Mention de la fonction et du rattachement scientifique en note 1 de bas de page.
Résumé (4 à 10 lignes) et mots-clés (limités à 6), abstractet keywords : taille 10
Corps du texte : taille 11, texte justifié.
Les citations d’auteurs dans le corps du texte sont du type (Meirieu, 2012, p. 143) la présentation complète figurant dans les références bibliographiques.
Notes de bas de page : taille 9, texte justifié.
La présence de ces notes de bas de page exclut absolument l’existence de notes en fin de communication. On ne doit pas sauter de lignes entre les notes de bas de page. Les appels pour les notes de bas de page, figurant dans le texte, doivent être positionnés « en exposant » et doivent avoir le même corps que le texte des notes (taille 9).
Références bibliographiques : taille 10
Numérotation des pages
Bas de page (2e ligne), positionnement central (taille12). Même police que le texte.
Encadrés, cartes et graphiques
Ils sont intégrés au sein du texte (et ne sont donc pas renvoyés à la fin du texte).
Références bibliographiques
D’une manière générale, il ne faut mentionner que les références bibliographiques strictement concernées par l’objet de la communication et donc citées au sein du texte. Il faut donc éviter de créer, à côté des références bibliographiques, une « bibliographie » complémentaire.
Pour un ouvrage
Le Moigne J.-L., 1995, Les épistémologies constructivistes, Paris : PUF
Pour un article
Vannereau, J., 2014, Analyse des pratiques managériales et pédagogie institutionnelle, L’année de la recherche en sciences de l’éducation, p. 151 – 174.
Pour un ouvrage collectif
Pagès M., Bonetti, M., de Gaulejac V., Descendre D., 1979, L’emprise de l’organisation, Paris : PUF.
Pour un chapitre dans un ouvrage collectif
Guiraud, M., 2003, De la symbolisation institutionnelle, — « Enquête institutionnaliste » sur un certain « vide conceptuel », in Actualité de la théorie de l’institution, s/d Ardoino J., Boumard P., Sallaberry JC, Paris, L’Harmattan (Cognition et Formation), p. 127-157.
Pour une communication lors d’un colloque
Ardoino J., Colloque AECSE « Sciences anthropo-sociales et sciences de l’éducation », Paris, 1983. Actes p. 148.
Attention: pas de retrait (positif ou négatif) dans la présentation des références bibliographiques. Elles se suivent à l’image des exemples suivants :
Ardoino J., Colloque AECSE « Sciences anthropo-sociales et sciences de l’éducation », Paris, 1983. Actes p 148.
Guiraud, M., 2003, De la symbolisation institutionnelle, — « Enquête institutionnaliste » sur un certain « vide conceptuel », in Actualité de la théorie de l’institution, s/d Ardoino J., Boumard P., Sallaberry JC, Paris, L’Harmattan (Cognition et Formation), p. 127-157.
Le Moigne J.-L., 1995, Les épistémologies constructivistes, Paris : PUF.
Pages M., Bonetti, M., de Gaulejac V., Descendre D., 1979, L’emprise de l’organisation, Paris : PUF.
Vannereau, J., 2014, Analyse des pratiques managériales et pédagogie institutionnelle, L’année de la recherche en sciences de l’éducation, p. 151 – 174.
1 À régler en fonction de la contrainte propre à chaque numéro.